Chuck Schumer manque de rigueur sur la régulation de l’IA : un échec à ne pas manquer

Il soutient que la réglementation de l'IA est délicate en raison de son évolution rapide. Quelles pourraient être les solutions pour réguler efficacement cette technologie en constante évolution ?

Une position américaine controversée sur la régulation de l’IA

Alors que l’intelligence artificielle (IA) progresse à une vitesse fulgurante, les États-Unis semblent privilégier l’investissement dans le développement de l’IA plutôt que dans sa régulation. En effet, un groupe bipartisan de quatre sénateurs, emmené par le leader de la majorité Chuck Schumer, a récemment proposé un plan législatif pour l’IA incluant un investissement de 32 milliards de dollars pour la recherche et le développement.

Un défi de régulation face à la rapidité d’évolution de l’IA

Selon Schumer, réguler l’IA serait complexe étant donné la rapidité de son évolution. Toutefois, cette position contraste avec celle de l’Union européenne. En effet, en mars dernier, le Parlement européen a approuvé une législation globale pour la régulation de l’IA. Cette dernière vise à gérer les obligations des applications d’IA en fonction des risques et des effets qu’elles pourraient engendrer.

Des liens familiaux et professionnels soulignés

Sans pour autant établir un lien direct, il est important de noter que l’une des filles de Schumer travaille comme responsable des politiques pour Amazon, tandis que sa deuxième fille a travaillé pour Meta. De plus, en mai 2022, le New York Post révélait que plus de 80 anciens employés de Schumer occupaient des postes dans les grandes entreprises technologiques, telles que Google et Apple.